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En novembre 2015, la blogueuse et youtubeuse Klaire fait grr a posté une vidéo de soutien au Planning familial après la proposition de Marion Maréchal-Le Pen de cesser de subventionner cette association si elle était élue à la tête de la région Paca. Elle a alors essuyé un torrent d'insultes, réunies dans cette plaquette dont les bénéfices (4,50 euros par plaquette) seront intégralement reversés au Planning familial. Autant dire qu’il s’agit là de "transformer la merde en or" !
La prévente de cette plaquette sur Ulule a déjà permis de réunir 12 000 euros. Il reste environ 1 500 plaquettes qui permettront d'atteindre la somme de 20 000 euros pour le Planning !
Cette plaquette contient :
- le texte de la vidéo de Klaire fait grr,
- un avant-propos sur les missions et les objectifs du Planning familial,
- et près de 30 pages de commentaires nauséabonds (et très éclairants) sur les fantasmes des anti-IVG.

" Cet outil pédagogique a été pensé dans le cadre de la réflexion du Monde selon les femmes sur les masculinités et de sa mission de promotion de l’égalité entre les femmes et les hommes auprès des enfants, et notamment, auprès des garçons. Les rôles genrés se construisent depuis la naissance. Les garçons sont socialisés dans une culture masculine hégémonique, normative et patriarcale. Cette socialisation entraine souvent un entre soi masculin (boys’ club) qui induit des phénomènes de rejets et de violences envers les femmes et envers les hommes ne correspondant pas aux normes traditionnelles de la masculinité. "

Public : de 9 à 12 ans

Les relations sociales, qu’il s’agisse d’amitié, d’amour, ou de contacts plus formels (scolaires ou professionnels) impliquent une série de règles et de comportements pour que la relation soit équilibrée et que tout se passe pour le mieux. Les ados, en pleine construction identitaire, sortent de l’enfance et prennent de ce fait une nouvelle place sur l’échiquier social. Respect, communication, limites, besoins et valeurs, représentations, ouverture d’esprit et tolérance sont autant de thèmes à travailler avec l’ado.

Au sommaire de cet ouvrage :
Introduction
Animation du cercle
Guide de l’animateur pour l’analyse d’une séance
Implantation du programme de développement affectif et social dans un groupe
Exercices préliminaires sur la communication
Conscience
Premier module, conscience : sentiments agréables, pensées agréables, comportements positifs
Interaction sociale
Deuxième module, interaction sociale : le développement de la confiance
Réalisation
Troisième module, réalisation : apprendre
Quatrième module, interaction sociale : communiquer
Cinquième module, conscience : identité personnelle, présente et future
Sixième module, réalisation : efforts
Septième module, interaction sociale : relations interpersonnelles
Huitième module, conscience : explorer ses sentiments
Neuvième module, réalisation : déceptions, problèmes et prise de décision
Dixième module, interaction sociale : résolution de conflits
Annexes

"Potes et Despotes" vous propose 15 saynètes sur : les différences, les insultes et leurs conséquences, les relations garçons-filles, les risques, les relations ados-adultes.
Conçu à partir des situations préoccupant les jeunes de 11 à 17 ans, ce support cible particulièrement cette tranche d'âge.
Les objectifs sont :
-Promouvoir un changement des attitudes et des comportements afin de prévenir le recours aux violences utilisées pour dominer et contrôler une personne.
-Faire prendre conscience que la personne qui reçoit notre violence éprouve des sentiments qui risquent de l'atteindre, parfois gravement.
-Faire prendre conscience de l'importance de se parler sans s'insulter, de négocier, de donner son avis, de s'autoriser à exprimer ce que l'on ressent lorsqu'on nous agresse.
-Faire réfléchir à ce qu'est une réelle amitié, une vraie camaraderie.
Saynètes :
N°1 : le croche-pied
N°2 : les délégués de classe
N°3 : le nouveau
N°4 : les chaussures de marque
N°5 : ma place
N°6 : salut !
N°7 : la partie de foot
N°8 : c'est pas tes oignons
N°9 : les devoirs
N°10 : la cata
N°11 : l'anniversaire
N°12 : rencontre internet
N°13 : le portable d'Elodie
N°14 : les résultats du contrôle de maths
N°15 : Ras l'bol

Cet outil est né à la suite d'un un concours de scénarios sur le thème de la prise de conscience de son homosexualité ou de sa bisexualité
dans une société où persistent des discriminations sur la sexualité.
Il a pour but de favoriser le respect de la diversité sexuelle et prévenir les attitudes, paroles et comportements discriminatoires (homophobes) et leurs conséquences chez les jeunes de 11 à 18 ans à partir de courts métrages écrits par les jeunes eux-mêmes.
Ses objectifs spécifiques sont :
- Faire prendre conscience à chacun de ses représentations de l’homosexualité, de la bisexualité, plus globalement des orientations sexuelles (diversité sexuelle), et des conséquences de paroles ou comportements homophobes.
- Faire évoluer les représentations de l’homosexualité.
- Transmettre des informations sur la loi en matière de discrimination et d’homophobie.

" Tu aimes les filles ? Tu aimes les garçons ? Tu ne sais pas trop ? Ton genre, ton corps ne te conviennent pas ? Tu te poses des questions sur ta vie, tes envies… et tu n’oses pas en parler autour de toi ? Ou bien un ou une amie vit cela ? Ce livre peut t’apporter des réponses. Notre identité n’est pas définie par la personne que l’on aime, ni par son genre. Tu peux être qui tu veux. Et personne ne peut te l’interdire. "

Documentaire à partir de 12 ans

"De nombreuses recherches ont précisément décrit les processus par lesquels l'institution scolaire reproduit les rapports sociaux de sexe traditionnels et participe au fonctionnement du système de genre. Quelques-unes, plus rares, ont mis en lien ces mécanismes avec la mise en *uvre dans le cadre scolaire d'une « injonction à l'hétérosexualité », avec la complicité passive et active des professionnelµleµs de l'éducation. Peu en revanche, se sont intéressées aux pratiques qui tentaient de favoriser l'égalité des sexes et des sexualités à l'école, qui semblent encore peu nombreuses. Depuis les années 80, les directives de l'Education Nationale incitent pourtant explicitement les enseignantµeµs, à travailler en faveur de l'égalité des filles et des garçons et à interroger les stéréotypes de sexe avec leurs élèves. Elles leur demandent également depuis les années 2000 de lutter contre l'homophobie. Ces prescriptions semblent toutefois peu connues et peu appliquées de l'aveu même de l'institution. Elles offrent néanmoins un cadre officiel et réglementaire à celles et ceux qui souhaiteraient mettre en place une pédagogie antisexiste et/ou non-hétérosexiste, fondée sur un égal traitement des enfants quel que soit leur sexe et sur le refus d'établir un lien entre celui-ci et un rôle à tenir dans la société. Ce livre porte justement sur les enseignantµeµs qui entendent se saisir de ces questions et sur leurs pratiques dans le cadre de l'école maternelle et élémentaire. Loin des polémiques, il vise à mieux cerner la spécificité de leur travail mais aussi la possibilité et les caractéristiques d'une éducation à l'égalité des sexes et des sexualités dès le premier degré d'enseignement, qui entendrait questionner aussi bien les savoirs scolaires que certains aspects du fonctionnement de l'école et de la classe au quotidien."

"« Chatte à talon! » Des mots crachés comme ça. A son passage. Mais elle a fait semblant de ne rien entendre. Comme toujours. Avec le recul, ce n’est pas grand-chose… Elle pourrait même trouver la formule assez drôle. Sauf qu’« Elle », c’est Anaïs, Mahé, Zoé, Julie. C’est la copine, la fille, la soeur, la petite amie. C’est vous. C’est moi. Et surtout, c’est banal. Au point qu’elle troquera sa jupe contre un pantalon. Pour ne plus être résumée à un sexe offert à qui veut."

Max est lâché par ses copains et on profite de sa faiblesse pour le harceler, le " traiter " et se moquer de lui à la récré. Max se sent nul et humilié. Il n'arrive plus à se défendre. Va-t-il retrouver confiance en lui ou rester une victime ? Ses parents vont-ils devoir intervenir ? Ce livre de Max et Lili parle des insultes, de la violence invisible des mots, dont on peut se souvenir toute sa vie. L'enfant doit y faire face sans avoir peur d'en parler, trouver des copains ou des adultes qui le soutiennent et pensent du bien de lui. Les parents et les professeurs peuvent, ensemble, interdire cette violence, l'expliquer et la punir aussi ! Le pouvoir de la parole est immense pour faire le mal comme pour faire le bien !

Un élève frappe un autre élève dans la cour d'un établissement scolaire. Un enseignant humilie ses élèves cours après cours. Un homme bat sa compagne. Une femme rabaisse son compagnon. Un manager harcèle ses collègues. Un automobiliste s'en prend physiquement aux autres pour une place de parking. Dans toutes ces situations, la violence n'est plus seulement un mot malheureux ou un accès de fureur sans lendemain, mais un réflexe, un langage, une manière d'être.
Il s'agit là d'un environnement propice à des violences souterraines, insidieuses, rampantes... entre violence réactive et désespoir social... Se propagent alors des relations "en faux" où la confiance n'est plus possible en famille ou dans l'entreprise, l'Etat et la religion. De plus en plus, on peut dire que ce siècle est devenu celui de la violence "spectacle" dont les médias se font à chaque fois complices.
Pourtant puisque la pulsion agressive existe au plus profond des gènes de chaque être vivant, du plus rudimentaire comme l'amie au plus développé comme l'homme, elle doit avoir son utilité dans la survie des espèces et dans la perpétuation de la vie elle-même. Si l'être humain souhaite s'élever au-dessus de la nature, peut- il, pour autant, renier ou renoncer à cette pulsion agressive sans se mettre en danger ? Ne doit-il pas plutôt éduquer cette pulsion afin de lui donner une visée constructive et structurante, tant dans une dimension individuelle que sociale ?

Au sommaire de cette revue :
DOSSIER : insultes, lâchez-vous mais avec classe
POLITIQUE
- Transports : des wagons pour femmes ? Sondage exclusif
- Tribune de Fabrice d'Almeida
FEMMES DU MONDE : Nouka Maximoff, conteuse tsigane
SYNDROME : La migraine du suicide, histoire d'une thérapie clandestine
LE SQUAT : Mariage forcé, le dernier recours
LES COLLAB'ELLES : la réserve des arts
LA CONSULTATION : sexe, voile et tabou
LES COULEURS DU FEMINISME : voyage en "matriarchie"
KPOTE : sous les pavés, plaisir interdit ?
Afghanistan : la parenthèse désenchantée
...

Série animée éducative qui s'adresse aux enfants victimes ou témoins de violences afin de les sensibiliser à l'importance de la parole.
La série suit le quotidien de 4 enfants d'une dizaine d'années qui dialoguent autour des violences sexuelles, psychologiques ou physiques par l'intermédiaire d'un jeu vidéo.

Intitulés des épisodes :
• S1 E1 : La douche
• S1 E2 : Les claques
• S1 E3 : Les caresses
• S1 E4 : Les insultes
• S1 E5 : L’humiliation
• S1 E6 : Les câlins
• S1 E7 : Les images
• S1 E8 : Le racket
• S1 E9 : Le cyber-harcèlement
• S E10 : L’intimité
• S1 E11 : Les coups
• S1 E12 : Le baissé de pantalon
• S1 E12 : Les corvées

Public : 7-12 ans