m
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK

Documents  VIENNOT, Eliane | enregistrements trouvés : 4

     

-A +A

Q


Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

- 1 p.
Cote : ARC MFPF

" Des militantes féministes, parmi lesquelles la sénatrice Laurence Rossignol et l’autrice Martine Storti, répondent aux attaques contre le Planning familial. Elles réaffirment leur soutien au mouvement tout en revendiquant certains désaccords à son égard, dans une tribune au « Monde ». "

PLANNING FAMILIAL ; MILITANTISME ; FEMINISME ; ASSOCIATION

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V

- 263 p.
Cote : G 1 POI

" Amazones, saintes en armes, émeutières, résistantes, femmes soldats, activistes luttant contre la domination masculine, la violence sexuelle ou sexiste, les régimes autoritaires, l'esclavage ou le colonialisme, mais aussi terroristes, kamikazes, gardiennes de camps ou délinquantes... Notre histoire est traversée par ces figures de femmes offensives. Elles ont pourtant rarement eu droit de cité dans le récit national et plus largement occidental, faisant au contraire les frais de caricatures qui permettaient d'éclipser la violence prédominante subie par les femmes : de victimes, elles devenaient bourreaux désignés.
Preuve que la violence féminine marque les esprits et frappe les imaginaires, aujourd'hui comme hier. Cette violence revendiquée a été longtemps occultée par une histoire écrite par et pour des hommes soucieux de perpétuer le mythe de l'innocence féminine, socle d'un modèle patriarcal qui permettait de reléguer les femmes dans des fonctions subalternes. Si les violences féminines domestiques (infanticide, crime passionnel, violence conjugale), secrètes (empoisonneuse, traîtresse, usurpatrice) ou déviantes (sorcière, criminelle, violeuse, veuve noire, femme fatale) sont aujourd'hui mieux connues, il semble que la violence commise par des femmes au sein de l'espace public le soit moins.
Elle s'exprime pourtant au grand jour, réactivant des stéréotypes dépréciatifs tenaces : vénéneuse, poissarde, tricoteuse, incendiaire, virago, pétroleuse, vitrioleuse, suffragette... Autant de termes destinés à évacuer leu sexe faible "d'une sphère publique où sa place n'est jamais considérée comme acquise. Cet ouvrage met en évidence un inconscient culturel aussi puissant que persistant, à l’œuvre dans nos représentations collectives ; il identifie les figures antiques, souvent mythifiées, de ces femmes d'action, leurs mutations au cours de l'histoire et leur résurgence ambivalente au sein de notre monde contemporain, afin de saisir une question qui interroge notre modernité.
Il fait la part belle à une perception féminine longtemps négligée de la violence. "
4ème de couverture
" Amazones, saintes en armes, émeutières, résistantes, femmes soldats, activistes luttant contre la domination masculine, la violence sexuelle ou sexiste, les régimes autoritaires, l'esclavage ou le colonialisme, mais aussi terroristes, kamikazes, gardiennes de camps ou délinquantes... Notre histoire est traversée par ces figures de femmes offensives. Elles ont pourtant rarement eu droit de cité dans le récit national et plus largement ...

FEMME ; HISTOIRE ; VIOLENCE ; DOMINATION ; ESCLAVAGE ; DROIT DE VOTE ; ARMEE ; DELINQUANCE ; TERRORISME

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.

- 333 p.
Cote : C 5 VIE

" Qu'est-ce qu'être une femme ou un homme ? Ce que nous pensons « féminin » ou « masculin » l'est-il bien ? Est-ce conjoncturel, culturel, ou bien profondément inscrit dans nos corps et plus ou moins intangible ? Ces questions se posent de nos jours dans un contexte radicalement nouveau : celui de la remise en cause globale de la domination masculine, celui des recherches foisonnantes que cette contestation a engendrées, celui des politiques publiques qui tentent de mettre en ouvre l'égalité des sexes.
Autant d'approches qui viennent bousculer les idées reçues et les pratiques sociales. Le domaine de la recherche scientifique n'échappe pas à ces tiraillements. Les études se sont multipliées depuis une trentaine d'années et aboutissent aux mêmes constats : l'inégalité entre femmes et hommes formate inconsciemment nos esprits, agissant jusque dans les opérations conçues comme les plus « scientifiques », les plus « objectives », quand elle ne conduit pas à de véritables blocages du fonctionnement de la pensée.
C'est à l'exploration de ces questions que nous invite ce livre iconoclaste, auquel ont travaillé des spécialistes venus d'horizons très divers - des « humanités » aux sciences de la vie, en passant par le droit, les arts, la primatologie. "
" Qu'est-ce qu'être une femme ou un homme ? Ce que nous pensons « féminin » ou « masculin » l'est-il bien ? Est-ce conjoncturel, culturel, ou bien profondément inscrit dans nos corps et plus ou moins intangible ? Ces questions se posent de nos jours dans un contexte radicalement nouveau : celui de la remise en cause globale de la domination masculine, celui des recherches foisonnantes que cette contestation a engendrées, celui des politiques ...

DIFFERENCE DES SEXES ; GENRE ; ROLE FEMININ-MASCULIN ; INEGALITE HOMME-FEMME ; BIOLOGIE ; ANIMAL ; COMPORTEMENT SOCIAL ; TRAVAIL ; ORGANE GENITAL ; DANSE ; PSYCHOLOGIE ; FEMME ET MUSIQUE ; SPORT ; FEMME

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.

- 118 p.
Cote : C 2 VIE

Le long effort des grammairiens pour masculiniser le français a suscité de vives résistances chez celles et ceux qui longtemps, ont parlé et écrit cette langue sans appliquer des règles contraires à la logique. La domination du genre masculin sur le genre féminin initiée au XVIIe siècle ne s'est en effet imposée qu'à la fin du XIXe siècle avec l'instruction obligatoire. Depuis, des générations d'écolières et d'écoliers répètent inlassablement que "le masculin l'emporte sur le féminin", se préparant ainsi à occuper des places différentes et hiérarchisées dans la société. Ce livre retrace l'histoire d'une entreprise à la misogynie affirmée ou honteuse, selon les époques. Riche en exemples empruntés aux deux camps, il nous convie à un parcours plein de surprises où l'on en apprend de belles sur la "virilisation" des noms de métier, sur les usages qui prévalaient en matière d'accords, sur l'utilisation des pronoms ou sur les opérations "transgenre" subies par certains mots.
Le long effort des grammairiens pour masculiniser le français a suscité de vives résistances chez celles et ceux qui longtemps, ont parlé et écrit cette langue sans appliquer des règles contraires à la logique. La domination du genre masculin sur le genre féminin initiée au XVIIe siècle ne s'est en effet imposée qu'à la fin du XIXe siècle avec l'instruction obligatoire. Depuis, des générations d'écolières et d'écoliers répètent inlassablement ...

LANGAGE ; GENRE ; FÉMINISATION DES NOMS ; FRANCE ; HISTOIRE

... Lire [+]

Z