V
- 86 p.
Cote : E 6 JAR
" C’était en 1971. L’avortement n’était pas encore légalisé. À l’époque, comme aujourd’hui, les penseurs s’engageaient contre les violences de guerre, le racisme, le sexisme, le désastre écologique. Une jeune philosophe de 42 ans, Judith Jarvis Thomson, invite alors le corps des femmes dans le débat. Avec elle, pour la première fois, la philosophie s’empare de la question de l’avortement. Son essai, limpide, terriblement efficace dans son argumentation, deviendra immédiatement culte, au point que, depuis cinquante ans, les « pro » et les « anti » n’ont cessé de s’affronter à travers lui. Sa puissance, son intelligence, sa subtilité en font l’un des textes philosophiques les plus cités et commentés de notre temps. "
" C’était en 1971. L’avortement n’était pas encore légalisé. À l’époque, comme aujourd’hui, les penseurs s’engageaient contre les violences de guerre, le racisme, le sexisme, le désastre écologique. Une jeune philosophe de 42 ans, Judith Jarvis Thomson, invite alors le corps des femmes dans le débat. Avec elle, pour la première fois, la philosophie s’empare de la question de l’avortement. Son essai, limpide, terriblement efficace dans son ...
AVORTEMENT ; PHILOSOPHIE ; HISTOIRE ; ETATS-UNIS ; MOUVEMENT ANTICHOIX ; LUTTE FEMINISTE
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